[Attention, cette page est amenée à évoluer au fur et à mesure que les joueurs exploreront la ville et découvriront ses secrets les plus obscurs.
Mise à jour: 07/04/2013]
Sibiu
est traversée par la petite rivière Cibin, affluent de la rivière
Olt, elle-même tributaire du Danube. Fondée par des colons
allemands au début du XIIe siècle, la ville se trouve à 20 km des montagnes
de Făgăraș, à 12 km des montagnes de Cibin et à 15 km
environ des montagnes Lotrului. Au nord et à l'est, Sibiu confine au plateau des Târnave,
qui descend vers la vallée du Cibin par la colline Gușteriței.
C’est ici que convergeaient les principales routes commerciales de
Transylvanie, y compris celle vers le sud, en direction de la
Valachie, par le défilé de la Tour rouge. La noblesse saxonne et magyar, par l'action de la famille féale Bessarab et l'appui de la puissante Caïnite Marushka, s'est vu confisquer le pouvoir politique au profit de l'ancienne élite nobiliaire slave. Le knezi actuel est Radoslav Bessarab qui règne sur la région depuis son château de l'Oberstadt.
Oberstadt, la ville haute :
bâtie sur la colline dominant la rivière Cibin, la ville
haute abrite la noblesse et le château du knezi Bessarab. La Piață
Huet (littéralement « la toute petite place », la
plus ancienne) accueille les artisans et les marchands les plus
riches et influents de la ville, notamment la puissante corporation
des drapiers. La prévôté, un puissant bâtiment fortifié de deux
étages, s'y trouve également. Une récente église romane se trouve dans le quartier, construite par les donations de riches
saxons récemment immigrés.
Le
château d'Hermannstadt :
Surplombant la
cité, le château transylvanien est composé d'une vaste esplanade
entourée de remparts massifs. Le château est constitué d'un
puissant donjon carré de trois étages. Le premier niveau abrite les
cuisines et dépendances nécessaires aux domestiques et serviteurs.
Le donjon abrite également au troisième étage les appartements du
knezi et de sa famille, ainsi que les logements des chevaliers
attachés à son service.
Un
chemin fortifié donne sur l'entrée de la place forte. La porte est
composée de deux panneaux de bois cloutés. Le passage est doublé
par une lourde herse en acier. L'entrée du château est surveillée
par deux imposantes tours de garde dont les murs sont percés de
nombreuses meurtrières. Juste derrière se trouve les écuries et
les chevaux, la réserve de foie et de paille et le dortoir des
palefreniers. Derrière les écuries, la forge et l'armurerie ainsi
qu'un corps de garde. Les logements des domestiques se trouvent non
loin. Un chemin de ronde parcourt tout le pourtour des remparts.
La
corporation des drapiers : un des plus grands bâtiments de la ville accueille la corporation
des drapiers, régi par un conseil des maîtres de neuf membres.
Riches marchands ou artisans de talents, ils maintiennent par le
biais d'une milice privée l'ordre dans le quartier, s'assurant du
soutien de la plupart des autres commerçants, et frappant les
contrevenants et les opposants, dominant de fait l'économie
grandissante de la ville. Depuis peu leurs réunion se font plus
fréquentes et l'on murmure que des projets d'ampleur sont en cours.
L'église
Sainte-Anne : récemment
construite, elle attire les très nombreux saxons qui ont refusé de
se convertir à l'orthodoxie à leur arrivée en Transylvanie. Le
prélat en charge, un ancien Abbé, le Père Feldorf, espère
recevoir rapidement le titre d'évêque et de disputer à son rival
orthodoxe la domination spirituelle sur la ville.
Unterstadt :
Les maisons à deux étages et à vaste toiture, d’une
architecture assez rustique, dotées d’un portail donnant accès à
une cour intérieure, sont caractéristiques de ce quartier. La place
Dragoner peut être considéré comme le centre de la ville basse, la
place Fingerlingsplatz (place des orfèvres) est une des plus
riches et des plus fréquentées. L’église de l’Ordre du
Saint-Esprit (orthodoxe, aussi appelée église de l'Asile) entreprit
de fonder ici le premier hospice pour malades et nécessiteux.
Personnalités
importantes : le métropolite Vulpesco règne sur un
puissant clergé comportant de nombreux prêtres et diacres. Sa
domination est aujourd'hui remise en cause par la part croissante de
saxons, catholiques, qui ont bâti une église et soutenu la
construction du couvent dominicain. Personnage décadent et peu
recommandable, il cherche actuellement des appuis auprès de la
vieille noblesse roumaine pour empêcher les catholiques de renverser
son hégémonie, et la leur.
Extérieur : le couvent dominicain de la Sainte-Croix est situé contre le mur
d'enceinte.
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